Nos amendements sont identiques, mais leur défense se fait effectivement en deux temps : le premier était consacré au thème de l'ONU stricto sensu et au besoin d'en renforcer la légitimité, le second portera sur les systèmes d'armes létales autonomes, la régulation des usages de l'intelligence artificielle et la lutte contre le mercenariat. Si la France est déjà engagée sur ces thèmes très importants, le rapport annexé doit montrer le volontarisme de notre pays pour s'assurer de leur régulation, voire de leur interdiction totale dans certains cas. Hier, le collègue Balanant a évoqué le sujet des systèmes d'armes létales autonomes,…