Pour ma part, je tire de votre argumentation la conclusion inverse de la vôtre, monsieur le ministre, parce que votre réponse prouve qu'une doctrine en la matière serait utile. Vous montrez que les principes existent et qu'on distingue déjà les linéaments d'une doctrine, qu'il n'y aurait plus dès lors qu'à formaliser. Ce serait une bonne chose, parce qu'on ne peut pas se contenter des bons principes que vous exprimez : en effet, vous ne resterez peut-être pas ministre durant toute la législature…