C'est bien la conséquence de cette épreuve. Permettez-moi d'ajouter que ce sont évidemment toutes les guerres des années 1990 dans les Balkans – dont on ne parle jamais dans cet hémicycle – qui ont prouvé qu'il était urgent de prendre ces décisions.
Le président Sarkozy n'a pas fait un choix politique, il a simplement tiré les conclusions de quinze ans d'affaiblissement en la matière. Il convient d'observer cette réalité de façon clinique. Voilà pourquoi je dis à la majorité présidentielle qui, elle, est très au clair sur ces questions :…