La conjoncture actuelle bénéficie bien davantage aux grands groupes, par le financement de grands projets d'innovation programmés, ou aux start-up. Pour faire face à cette situation, certaines PME ou entreprises de taille intermédiaire (ETI) se sont ouvertes à des capitaux étrangers ou européens. Cette situation peut – et doit – donc être améliorée, à la fois en reconnaissant davantage les moyennes entreprises – c'est l'objet de cet amendement –, et en ayant davantage confiance en leurs capacités à développer des innovations de rupture, dont je rappelle qu'elles sont essentielles au maintien de la France parmi les plus grandes nations en matière de défense.