Lorsque vous auditionnez le ministre des armées en tant qu'ordonnateur principal, ainsi que les chefs d'état-major, le DGA et le DGSE en tant qu'ordonnateurs secondaires ; quand vous posez des questions écrites ; quand vous déposez une motion de censure sur les questions de défense, comme cela s'est déjà vu depuis le début de la V
Enfin, on peut certes se demander si le contrôle prévu dans le texte sera suffisant, mais puisque vous aimez les références à François Hollande et à François Mitterrand – et je vous comprends –, je tiens à souligner qu'il sera toujours plus poussé que lors de l'examen des LPM adoptées du temps de ces présidents, le Parlement étant alors plus en retrait que dans le texte qui vous est proposé aujourd'hui.
Avis défavorable.