C'est la première posture possible ; j'y suis opposé mais je la respecte, car elle est cohérente. Quant à la deuxième posture, elle est la suivante : peut-être est-ce dommage, mais il n'est pas question que la France n'en soit pas et n'occupe pas son rang en la matière. C'est aussi en cela que le gaullisme militaire constitue un héritage politique important, car c'est ce qui a été fait dans les années soixante en ce qui concerne l'atome – et c'est évidemment ce que nous proposons.