Il n'est jamais inutile de faire un peu d'histoire, monsieur Lecoq ! Désormais, votre parti défend cette position en connaissance de cause, conformément à ses convictions profondes.
De nombreux sujets ayant été traités lors de la discussion générale et en commission, je me contenterai de quelques commentaires. Tout d'abord, je n'opposerai jamais les budgets militaires destinés à la sécurité de la nation aux budgets sociaux destinés à la sécurité sociale de cette même nation – puisque vous convoquez l'esprit de 1945 et du Conseil national de la Résistance, vous devez savoir que ces deux volets sont intimement liés.