Vous avez expliqué les circonstances dans lesquelles vous avez été amené, en 2021, à rejoindre les conseils d'administration de deux entreprises du secteur pétrochimique et pétrolier, à la suite de rencontres et de contacts divers. Ne pensez-vous pas que votre qualité d'ancien Premier ministre de la France a joué un rôle déterminant dans ce recrutement par ces sociétés, dont l'une est détenue à 100 % par l'État russe ?