Le premier point de désaccord est évidemment le comportement de l'État russe vis-à-vis de l'Ukraine : c'est fondamental. Non seulement nous ne pouvons pas l'approuver, mais nous le condamnons et nous le combattons en fournissant à l'Ukraine les moyens de se défendre. C'est le premier grief qui me vient à l'esprit quand je songe au contentieux entre la France et la Russie, et celui sur lequel les choses se sont cristallisées.