Nous sommes sensibles à votre réflexion. La suppression de la deuxième section est dans l'air depuis longtemps, et nous avons hésité à déposer cet amendement. Il s'agissait de mettre un coup de pied dans la fourmilière.
Je ne suis pas sûr de comprendre comment vous pourrez atteindre votre objectif de revitalisation. Le moment est sans doute venu d'agir.