Il a trait à la transparence de l'exécution budgétaire et il définit une trajectoire d'autorisations d'engagement et de restes à payer, dans le but de sécuriser la trajectoire budgétaire présentée à l'article 3. Dans son analyse de l'exécution budgétaire de la mission Défense publiée en avril 2023, la Cour des comptes a alerté les parlementaires sur la soutenabilité de la trajectoire des restes à payer de la mission, lesquels atteignaient 91 milliards d'euros en 2022 contre 52 milliards en 2017. Nous souhaitons suivre les préconisations de la Cour des comptes et inscrire une trajectoire d'autorisation.