Je suis favorable à la remise d'un rapport mais à condition qu'il porte uniquement sur la contribution du ministère des armées – direction générale de l'armement (DGA), direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) – à l'effort cyber. La référence à « l'État français », outre qu'elle est malheureuse, pourrait en effet intégrer l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) et d'autres structures. Il me paraît également important d'envisager un délai non d'un an mais de deux, voire, un rapport tous les deux ans jusqu'à 2030.