Nous n'avons pas toujours été face à Wagner ni face à des situations enkystées au point d'être intenables. Vous avez pris la décision de maintenir les forces françaises à l'issue de l'opération Serval ; vous avez choisi de poursuivre l'opération Barkhane alors qu'il était encore temps de partir.
Vous nous avez toujours servi le même argument contrefactuel : « Si nous n'y étions pas, ce serait pire. » Vous nous avez, de manière fallacieuse, fait un chantage au terrorisme sur le territoire national alors qu'aucun attentat n'a jamais été préparé depuis le Sahel.