La simulation a du bon, car elle permet des entraînements qui n'étaient auparavant pas possibles, ou alors très rarement. Grâce à elle, les rendez-vous sont plus fréquents et nos soldats sont mieux formés. Mais la simulation peut aussi malheureusement souvent servir de cache-misère quand manquent les munitions et les encadrants. Il ne faudrait pas qu'elle se substitue aux entraînements réels ; c'est en ce sens que nous proposons de compléter l'alinéa 64. On conserve ainsi la force d'une simulation d'excellence, très technologique, et celle de l'entraînement réel.