On est ici au-delà de l'idéologie : c'est du pragmatisme. Concernant le MGCS, vous avez reconnu vous-même son impasse, Monsieur le ministre. Ce programme est mort-né. Quant à la réduction des coûts, je ne suis pas sûr qu'au bout du compte le Scaf n'aura pas coûté plus cher aux États, dont la France.