C'est un dossier encore plus critique pour le ministère de l'intérieur que pour celui des armées. Pour nous, les obus sont encore plus prioritaires. Je travaille sur le dossier des obus de 155 millimètres, de certaines munitions critiques.
À ce jour, nous n'avons pas trouvé d'industriel pour mener le projet.
Il faut réfléchir à la compétitivité de la filière : la nécessité d'être souverain ne fait pas disparaître celle d'être compétitif.
Je suggère plutôt le retrait de l'amendement, car ce serait aujourd'hui un vœu pieux. Mais ce dossier sera suivi, davantage par le ministère de l'intérieur.