Tout à fait. À dire vrai, mon cabinet en a même déjà élaboré une nouvelle rédaction. Je le répète, ces éléments doivent être intégrés au bon endroit, c'est-à-dire là où il est question de soutien interarmées, car le SSA a besoin de voir qu'il est considéré comme un service de combat, et non pas comme un service qui pourrait pallier les difficultés de l'hôpital de ville – même s'il le fait ! – et d'être habilité et réhabilité dans la première de ses missions. Je n'ai pas le temps ici de décliner à nouveau les moyens financiers consacrés dans la LPM au service de santé des armées dans la période qui s'ouvre.
En tout cas, nous pouvons, si vous le souhaitez, travailler à tout cela avec le rapporteur.