Il ne faut pas shunter pour autant le comité des experts après l'avis des médecins. La question était celle de la durée des procédures, car les comités d'experts ont eu longtemps du mal à reconnaître l'existence des blessures psychiques. Nous assistons aujourd'hui à un renversement dans le traitement de cette question, pilotée à un haut niveau du SSA.