Affirmation de l'exigence de libre disposition de la force armée, non-transposition de la directive lorsque le problème s'est posé : le chemin que nous avons emprunté nous permet, pour l'essentiel, de protéger notre modèle.
Je recommande de ne pas remettre cette affaire sur la table, d'autant que nous achevons les discussions avec les instances européennes pour offrir aux États membres la possibilité d'activer une clause de renonciation, car nous ne sommes pas seuls dans cette affaire.
Je suggère le retrait de l'amendement et émets à défaut un avis défavorable, non sans vous remercier d'avoir abordé le sujet, sur lequel je m'exprime pour la première fois depuis que je suis ministre des armées.