Ce projet de LPM ne prévoit, et c'est une rupture importante par rapport au passé, ni ouverture ni fermeture de régiment ou de base aérienne, ce qui règle beaucoup de problèmes en matière d'aménagement du territoire.
Au pire – ou plutôt au mieux – des régiments pourraient gagner quelques sections, soit l'arrivée d'une centaine de militaires supplémentaires. C'est alors le cas classique d'augmentation de la population d'une commune, qui entraîne une progression de la dotation globale de fonctionnement (DGF) et des recettes fiscales. C'est une bonne nouvelle, au même titre que l'implantation d'une nouvelle entreprise.
J'ai été maire d'une ville où l'on a fermé un laboratoire militaire et j'ai bien vu la charge que cela représentait…