Aurore Bergé :
Vous avez le droit de le proposer, à condition de mener le débat à son terme : rappelons que l'obligation du vote de confiance prévalait sous la IVe République, avec le succès que l'on sait. Mais peut-être n'êtes-vous pas tous favorables à un retour à la IVe République – comme au sujet du nucléaire, vos programmes ont nettement évolué ou se sont amplement contredits et reniés entre l'élection présidentielle et les élections législatives…