Vous avez donc tort aussi bien sur le fond que sur la forme. Ce que je vous demande, chers collègues, c'est que ceux d'entre vous qui n'approuvent pas ces dispositions acceptent au moins de laisser le texte vivre sa vie, arriver entre les mains des sénateurs : nous verrons bien ce qui se passera alors ! Encore une fois, ne revenez pas à votre ancienne méthode du passage en force. En gouvernant de la sorte, vous ne tiendrez pas cinq ans : vous n'avez plus la majorité absolue ! Ce n'est pas la bonne manière de gouverner.