Je souhaite revenir sur l'évolution envisagée de notre dispositif en Afrique. Le rapport annexé de la LPM évoque une présence permanente réduite mais accueillant davantage de renforts ponctuels spécialisés pour répondre aux sollicitations des pays partenaires. Pourriez-vous nous en dire davantage ? Quelle forme prendra ce partenariat ?