Deuxièmement, nous y viendrons, il s'agit d'ajuster l'article d'équilibre en raison des dépenses supplémentaires qui ont été engagées.
Troisièmement, nous avons une difficulté, que je n'ai pas cachée, avec l'amendement n° 194 de Charles de Courson, qui augmente les retraites des salariés du privé à hauteur de 500 millions d'euros. Sa proposition partait d'une bonne intention : il voulait savoir si, oui ou non, les retraites pouvaient à nouveau être revalorisées au 1er janvier 2023.