Comment ignorer ces questions au moment même où l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) nous alerte quant au risque d'un « grave accident nucléaire » à la centrale de Zaporijjia ? Qui peut nous garantir une paix éternelle sur le continent ? Évidemment, personne.
Au-delà de ces multiples questions, un constat simple peut être établi : le nucléaire n'est pas résilient face au changement climatique engagé. Le rapport de la Cour des comptes prévoit ainsi une multiplication par trois ou quatre des indisponibilités des centrales, pour cause de réchauffement climatique.