Cet amendement tend à revenir sur deux erreurs graves qui ont été commises en matière de politique nataliste et familiale. Je me réfère ici aux coups portés au quotient familial et à la décision de moduler les allocations familiales, qui porte atteinte à l'universalité de cette prestation.
Je tiens au passage à présenter de plates excuses à mes collègues socialistes pour la confusion que la présentation précipitée d'un amendement m'a conduit à faire tout à l'heure au sujet de la demi-part des veuves. Mon inconscient a sans doute estimé, chers collègues, que, pour l'ensemble de votre œuvre destructrice en matière de politique familiale, vous méritiez ce reproche.