D'un côté, il leur faudra dénoncer les groupuscules et étudier comment ceux-ci se structurent ; il leur faudra aussi, avec la même intensité, questionner notre doctrine de maintien de l'ordre. Cela ne peut plus durer. La singularité de ces événements et les difficultés de maintien de l'ordre que nous connaissons depuis une dizaine d'années ne sont pas à l'honneur de notre démocratie.