Mes chers collègues, chaque fois que la violence prendra le dessus, c'est nous tous qui serons menacés. Nous avons eu raison d'applaudir Yannick Morez mais il faut – je le dis sans esprit polémique – se rappeler les termes qui ont été les siens : il a dénoncé ce qu'il considérait être un abandon de l'État.