Ne confondez pas les actes avec les intentions des personnes qui les accomplissent. Ce n'est pas la première fois que nous avons ce débat. Vous êtes complaisants en fonction de l'intention qui motive la violence. Pour vous, quand la cause est abjecte, la violence n'a aucune excuse, mais quand la cause est sympathique, quand elle vous semble juste, la violence a des circonstances atténuantes.