Vous savez que cet état de tension a commencé le 16 mars et qu'il a effectivement abouti à une situation inacceptable, car nul ne doit être atteint dans son intégrité physique seulement parce qu'il fait son travail, qu'il soit policier, journaliste ou autre ! Et nous saluons ici tous ces travailleurs qui ont été blessés !