Comme je l'ai évoqué en commission des lois, je regrette que l'identité politique de ces groupuscules ne soit pas dévoilée. Pourtant, ces fauteurs de troubles et ces terroristes du quotidien sont souvent identifiés et bien connus du ministère de l'intérieur.
Si cette commission d'enquête se concentre sur les groupuscules et les événements violents intervenus entre le 16 mars et le 3 mai 2023, il est nécessaire de rappeler que cette violence n'est en rien anecdotique et que notre pays l'a déjà subie bien avant la réforme des retraites. Depuis des années, nous le constatons et il faut le répéter, tous les mouvements sociaux sont gangrenés et pourris par l'extrême gauche.