Aujourd'hui encore, vous nous servez le même refrain. J'aimerais m'éloigner quelques instants de ce débat qui a certes son importance, celui de l'utilité de la dette pour un État qui veut investir, protéger, éduquer ou soigner sa population, mais sur lequel M. le président Coquerel s'est déjà exprimé. La charge de la dette augmente, dites-vous. C'est terrible !