Comme nous l'avons toujours fait, nous dénoncerons la double imposture de ceux qui prétendent défendre les classes moyennes avec des propositions qui, chez leurs amis hongrois, ont contribué à des hausses de prix de 30 %, tout en refusant de voter ici les mesures qui ont eu un impact concret sur la vie des Français. Un plan Marshall pour les classes moyennes, d'un côté, et la lutte implacable contre toutes les fraudes, de l'autre. Nous considérons, contrairement à vous, qu'un euro gagné est un euro durement gagné et que solidarité rime avec exemplarité. Nous considérons aussi que les Français doivent en avoir pour leur impôt, comme l'a annoncé le ministre délégué Gabriel Attal.
Voilà, mes chers collègues, les raisons pour lesquelles le groupe Renaissance se réjouit du coup d'envoi de la saison budgétaire, refusant la fatalité d'un endettement qui n'a de limite que l'imagination taxatrice et la démagogie.