Entendre Charles de Courson critiquer l'augmentation de la dette et de la dépense publique et, dans le même temps, savoir qu'il rejette la réforme des retraites ne manque pas de sel !
Le programme de stabilité démontre combien cette majorité est à la fois du côté de la protection des Français, de la liberté d'entreprendre, mais aussi du sérieux budgétaire qu'incarne notre rapporteur général, à rebours de la double impasse de l'austérité et du laxisme.