On aurait pu faire des choix : rendre l'impôt plus juste, revenir sur les cadeaux fiscaux offerts depuis des années aux plus riches – au point que les trente-sept personnes les plus riches de France sont soumises à une pression fiscale de 0,26 % ; je vous renvoie à l'étude que l'Institut des politiques publiques publiera en lien avec Bercy, mais je pourrais en citer d'autres. Or ce n'est pas le choix qui a été fait ; vous avez préféré baisser la dépense publique.
Disons les choses clairement : on débat pour savoir s'il s'agit ou non d'austérité…