Ce rappel se fonde sur l'article 54, alinéa 4 : il s'agit d'un sujet de souveraineté majeur pour la France, sur lequel plusieurs groupes ont demandé la parole. D'autres amendements de moindre importance ont bénéficié de débats nourris. C'est pourquoi il me semble que tous les groupes qui veulent s'exprimer doivent pouvoir le faire.