et appelons à mettre le sujet sur la table concernant toutes les sociétés militaires privées. C'est pourquoi nous refusons de cautionner une indignation à géométrie variable. Il faut dénoncer la privatisation de la guerre, qui permet aux sociétés et aux États, y compris à la France – balayons devant notre porte –, de se défausser de la responsabilité de l'usage de la violence et de la force, pour reprendre les mots de l'ONG War on Want. Nous n'oublions pas non plus le mercenaire français Bob Denard, impliqué dans de nombreux coups d'État en Afrique.