Vous avez, avec discrétion, apporté des réponses, fait venir au ministère de l'intérieur des élus qui n'étaient pas de votre circonscription – c'est le cas de Cavaillon. Je regrette qu'il ait fallu attendre presque la fin des questions au Gouvernement pour qu'un député, en votre personne, se réjouisse des efforts de la police nationale pour faire reculer le trafic de drogue.