À moyen terme, nous devrons trouver un repreneur alors que l'outil de travail, la forge, qui a plus de cinquante ans, est obsolète. Les besoins d'investissements sont donc importants. Nous avons également besoin de redonner de la compétitivité au site qui fabrique les roues. J'ai bien peur que l'aide de la BPIFrance ne soit pas suffisante. Nous ne nationaliserons pas la production de roues : nous devons donc trouver un investisseur stratégique, et non financier – vous l'avez dit –, qui redressera tout ou partie de l'activité. En attendant, nous suivons très près la situation, notamment celle des salariés qui travaillent encore pour cette entreprise.