Vous citez les entreprises du CAC40 et les aides qui leur ont été données, y compris pendant la crise du covid. D'une part, il y a 174 milliards de bénéfices et 80 milliards redistribués aux actionnaires – sous forme de dividendes ou autres ; d'autre part, il y a eu dans le même temps 30 000 suppressions d'emploi. Ce sont des critères objectifs ! On ne peut plus continuer comme ça. Je partage avec vous l'idée que les dépenses publiques doivent servir à quelque chose et avoir une certaine rentabilité, en quelque sorte, mais là, il n'y en a pas !