Comment célébrer le 8 mai 1945 sans dénoncer la violence intrinsèque de ces groupes d'extrême droite ? Il est inconcevable que l'État ne les considère pas, par leur essence même, comme un trouble à l'ordre public. L'État était fondé à interdire ce cortège, car, pour reprendre les mots de l'ancien président de la République italienne Sandro Pertini « le fascisme n'est pas une opinion, mais un crime » !