À l'annonce de votre nomination, la presse a rappelé que vous étiez un fervent défenseur du nucléaire. Dès lors, l'Ademe va sans doute prendre avec vous un nouveau virage : en effet, ces dernières années, elle était bien loin de mettre en avant la nécessité de relancer un programme nucléaire. Bien au contraire, elle misait sur 85 % d'électricité verte en 2050 et 95 % en 2060. Comment pensez-vous gérer ce grand écart ?
Le ministre Christophe Béchu a pointé il y a quelques mois un manque de lisibilité de l'appui en ingénierie de l'État, entre l'Ademe, le Cerema et l'ANCT. Comment comptez-vous remédier à ce flou ?
Pensez-vous que les différents acteurs, notamment les particuliers, ont suffisamment le réflexe de se référer à l'Ademe, à ses différents dispositifs et à la documentation qu'elle met à leur disposition ? De même, les offres de formation offertes par l'Ademe aux professionnels sont-elles suffisamment utilisées ?