À l'époque des faits relatés par les Uber files, la loi « Sapin 2 » n'était pas en vigueur. Les activités de conseil de Mme Thaima Samman étaient donc couvertes par le secret professionnel, puisqu'elle est avocate. Aujourd'hui, les avocats sont concernés par le dispositif de la « loi Sapin 2 ». J'imagine donc que ses réponses auraient été très différentes si les faits sur lesquels vos questions portaient étaient postérieurs à la « loi Sapin 2 ». De notre point de vue, il nous paraît essentiel que toutes les activités de représentation d'intérêts soient couvertes par les dispositifs de transparence en place.