Notre échange est frustrant, dans la mesure où nous ne parvenons pas à évaluer le montant des sommes qui arrivent dans les caisses de l'État du fait d'Uber, des autres plateformes et de l'ubérisation. Il nous manque cette estimation. Comment évaluons-nous les déficits dans le cadre de la négociation avec nos partenaires ? Je conçois la complexité de la situation. Toutefois, s'agissant de la question des paradis fiscaux, je considère pour ma part que la France est très loin d'avoir mené la bataille qui aurait dû être la sienne.