En fonction des impacts, les intéressés peuvent avoir une information sur la logique qui sous-tend le processus et l'algorithme. Tout dépend du niveau de profondeur. La société Uber indiquera les limites de l'information qu'elle estime pouvoir communiquer, le reste étant, selon elle, couvert par le secret des affaires. De son côté, le chauffeur pourra considérer que ce n'est pas suffisant et qu'il n'a pas un accès suffisant aux critères sur lesquels se fonde la décision. Puis le régulateur – par exemple Cnil ou une autorité judiciaire – jugera si le curseur a été bien ou mal placé.
Il est donc possible d'avoir accès à certaines informations, de contester le processus et d'y intégrer une intervention humaine.