Leur formulation est contestable en ce que, à les écouter, on n'en comprend pas le sens. On saisit le début de l'information mais le reste nous échappe. L'une de ces séquences fait ainsi référence à un blogueur britannique. Le propre d'un journaliste est d'être un intermédiaire pour transmettre et faire comprendre une information. En l'espèce, c'est l'inverse qui s'est produit. La confection d'un off est très compliquée, contrairement à ce que l'on pourrait penser, car il faut synthétiser au maximum une information sans en perdre l'intelligibilité. Les références abordées dans les séquences en question n'étaient pas compréhensibles pour le commun des téléspectateurs. Je pourrai vous en transmettre la liste ; elles concernent des oligarques russes, des pays d'Afrique ou du Moyen-Orient et cet hôtel à Madagascar.