Le Royaume-Uni est soumis aux règles applicables aux investisseurs extracommunautaires. Depuis le Brexit, nous commençons à avoir quelques sujets en matière de sécurité économique à travers l'application de procédures juridiques étrangères qui dans certains cas méconnaissent notre droit national.
La France bénéficie d'une bonne marge de liberté dans ce schéma communautaire, puisque nous avons pu ramener le seuil de 25 % à 10 % pour les sociétés cotées, par une mesure à l'époque exceptionnelle visant à faire face à la crise économique et à la crise du covid. Nous craignions que de nombreux États étrangers, profitent de l'effet d'aubaine que représentait l'affaiblissement du tissu économique français pour racheter des entreprises stratégiques.