Nous travaillons avec eux, effectivement, de la même façon que nous travaillons avec la DGA et les armées.
En ce qui concerne les communautés d'internautes, c'est un sujet sur lequel nous réfléchissons. Il existe des capacités d'expertise que nous n'avons pas forcément en propre. Nous faisons déjà appel à des réservistes ayant une expertise dans des domaines très techniques que nous ne serions pas en mesure de détenir en propre dans la durée, à entretenir Parfois même, les personnes auxquelles nous faisons appel n'ont pas de contrat de réserve. Il ne faut pas être prisonnier d'un formalisme excessif, dans un monde où l'on a parfois besoin de compétences extrêmement variées ou relevant de niches. Je vise plutôt à développer notre carnet d'adresses en complément de l'augmentation du volume des réservistes.
Le recours à des communautés d'internautes est envisagé, mais la chose n'est pas simple. Il y a des risques d'instrumentalisation, la fiabilité des internautes doit être évaluée. Nous n'avons donc pas encore franchi le pas, et il me paraît compliqué de le faire.