Nous suivons de près toute innovation en matière d'intelligence artificielle, d'informatique quantique et dans tout domaine susceptible d'introduire une faille ou une opportunité, selon le côté où l'on se place.
Baisser la garde ou alléger notre effort en matière de cyber, c'est être déclassé. Nous sommes engagés dans une course sans fin. La France est partie relativement tôt, mais pas dans les toutes premières nations. Elle a acquis un niveau d'expertise reconnu grâce à un bon niveau technique et à une approche très opérationnelle du cyber. Si nous relâchons l'effort, nous ne serons plus dans la course.
L'ambition affichée par la LPM 2024-2030 nous permettra de rester en ligne, sous réserve de ce que feront nos compétiteurs. C'est volontairement que j'ai ouvert mon propos par la menace : beaucoup dépendra de nos compétiteurs majeurs et de notre capacité à nous adapter.