Oui, nous sommes passés de trente à dix-sept mois pour leur production, et les cadences vont quasiment doubler d'ici à la fin de l'année. Un effort assez considérable a été entrepris par Nexter et ses sous-traitants.
Cette démarche se retrouve pour les obus et les corps de bombe. Avec l'industrie, la DGA et les armées, nous avons identifié, à l'occasion de la LPM et au titre des travaux d'économie de guerre, les exigences de réactivité adaptées aux hypothèses d'engagement – je pense aux tubes de corps de bombe : lorsqu'ils sont prêts à être façonnés, le gain de temps est considérable.